Le Mazenay
Depuis la tendance de la bistronomie tatouée végé, suivie de près par la mode du zinc rétro, on avait l'impression pendant un temps que le resto de quartier ni bistro ni gastro ni étoilé ni rien du tout, était en voie de disparition. Alors qu'en r
Depuis la tendance de la bistronomie tatouée végé, suivie de près par la mode du zinc rétro, on avait l'impression pendant un temps que le resto de quartier ni bistro ni gastro ni étoilé ni rien du tout, était en voie de disparition. Alors qu'en réalité, il se porte plutôt bien. Servant une cuisine honnête et de bonne facture, par les temps qui courent ce sont des adresses précieuses. Voici le premier de mes spots de cœur.
Le Mazenay, sa pomme dauphine et son millefeuille de légende.
Le chef Denis Groison et son épouse Lan ont ouvert ce petit restaurant en 2015 dans une des plus anciennes rues de Paris. Le lieu est assis dans un espèce de recoin triangulaire de rue – qui n'est pas réellement triangulaire mais en donne l'impression par sa forme biscornue sans aucun angle droit.
Avec 45 couverts lorsqu'elle est pleine à craquer, la salle n'est pas vraiment sexy. On ne vient pas ici pour un premier RDV Meetic ni même le deuxième, mais en vieux couple ou ave…